“Tout a une voix, tout a une histoire. Et les récits inachevés se cachent partout.”
Les Mémoires d’Elizabeth Frankenstein



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Mufasa, the lord | Tu m'as oublié en oubliant qui tu étais, Simba....
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Mufasa N'Guvu
Mufasa N'Guvu
Mufasa N'Guvu
Hakuna Mufasa, quel Bretzel magnifique !
Mufasa N'Guvu
Messages : 47

✤ MUFASA N'GUVU ✤

  • 35 ans
  • Roi de la terre des lions
  • Le Roi Lion
  • Pays d'Oz - le désert -Prideland
  • Untoldtale
  • Engrenage.
  • Sterling Sulieman (ASLAUG)
Homme-Chat. Marié à Sarabi ♥. Papa de Simba. Frère de cet idiot d'Askari.

Physique & Caractère



- ORGUEILLEUX - UN PEU VANTARD - PHYSIQUE AVANTAGEUX - COURAGEUX - INTELLIGENT - BAGARREUR - VIF D'ESPRIT -
LOYAL - PROTECTEUR - FORT - RANCUNIER - RÉFLÉCHIT - PERSÉVÉRANT - GOURMAND - COMPÉTITIF - PERFECTIONNISTE - HUMOUR -DÉBROUILLARD - GÉNÉREUX - REBELLE -

Ma mère m'a toujours dit que j'étais intelligent. J'ignore si elle était vraiment objective à ces moments-là, mais je dois le reconnaitre, je suis pas mal intelligent. Disons que je sais faire fonctionner mes neurones. Lorsque l'on est Roi, c'est une obligation. Je n'ai pas pour habitude de me jeter la tête la première dans les problèmes, je réfléchis toujours avant d'agir mais je n'hésite pas à aller au combat s'il le faut. Pour ma famille. Il n'y a rien de plus important que ma famille. Et je ferais tout pour les protéger. J'ai quand même tendance à aller à la bagarre assez rapidement lorsque mon fils est en danger. Et il se met souvent en danger, c'est une tête-brûlée, qui n'a peur de rien - comme moi - et il est capable du meilleur comme du pire. Il est très naïf et croit tout ce qu'on lui, sa curiosité lui a souvent joué des tours, et moi, je répare derrière. Je suis du genre très rancunier, je n’aime pas qu’on me prenne pour un con et qu’on me fasse des crasses, mais la vengeance est un plat qui se mange froid. Ennemi, prenez garde ! Surtout que lorsque j’entreprends quelque chose, je ne lâche pas l’affaire et elle doit être nickel. Perfectionniste, je vais jusqu’au bout des choses et je suis prêt à recommencer encore et encore, jusqu’à ce que cela soit parfait. Ma confiance est dure à obtenir mais je suis d'une loyauté sans faille, mais attention, ma confiance peut disparaitre très vite, si on me prend pour un con. Je suis généreux, j'aime aider les autres et j'aime leur faire plaisir. J'adore rire, et j'ai beaucoup d'humour, il parait que cela conserve. J'aime me tourner en dérision. Je suis très compétitif, et tout pour moi est source de défi, je gagne souvent étant le plus fort et le plus rusé. Je me débrouille pour tout faire, en partant de rien. Il faut pouvoir trouver des idées rapidement quand on est Roi. Le royaume doit tourner vite et bien. Ma femme trouve que parfois je suis orgueilleux, je n'aime pas qu'on fasse à ma place et je demande rarement de l'aide, j'ai ma fierté en jeu. Et parait-il - toujours d'après elle - que je suis un peu vantard. En même temps, je suis Roi, je peux bien le crier haut-et-fort. Je suis fier de ce que je suis. Et je suis gourmand, très gourmand, surtout quand c'est ma femme qui s'occupe du dîner. Un peu rebelle, je n'aime pas trop l'autorité, un paradoxe pour moi qui doit l'incarner depuis que je suis né.


Histoire

Le désert, Prideland, qui entoure le pays d’Oz regorge de beaucoup de secrets. Il est inaccessible aux humains, car l’air y est toxique pour eux. Et c’est ce qui nous a permis, nous les Hommes-Chats d’y vivre et d’y évoluer sans l’oppression constante des humains sur notre peuple. Nous sommes un peuple de guerrier et de valeurs. Nous voulons simplement vivre nos vies dans ce désert bénéfiques avec les nôtres. Je m’appelle Mufasa N’Guvu et je suis l'héritier du trône. Mon père Ahadi était un Roi aimé par son peuple, et juste. Il m’a élevé dans les mêmes principes, et j’espère être à sa juste hauteur. J’ai été élevé avec les femmes du clan qui m’apprenaient les bonnes manières, mais trop dissipé pour écouter, j’ai souvent  un désespoir pour ma mère Uru. Préférant, de loin partir à l’aventure dans le désert afin d’y découvrir tous ses secrets. Oh bien sûr, je voulais accéder au trône, mais ma jeunesse avait bien plus raison de moi que les leçons données par les femmes, mais aussi celles données par mon géniteur, qui s’efforçait de m’inculquer les différentes lois de Prideland.

Mon enfance a été plutôt heureuse, même lorsque ma mère me rabâchait à longueur de journée qu’au lieu de jouer à la bagarre, je devrais écouter ce que mon père me racontait sur le peuple de ces métamorphes-hyènes. Ennemies de notre peuple depuis plus d’un siècle. Un jour je les ai rencontrées. Je me suis même battu avec l’une d’entre elles. Shanzi ? Je ne me souviens plus de son nom. Le combat fut mémorable mais j’ai gagné. Je gagne toujours. Ce n’est pas pour rien que je suis l’héritier du trône. J’ai appris toutes les techniques de combat avec les guerriers de mon paternel, et croyez-moi, je sais m’en servir. Les leçons et mes escapades dans le désert me prenaient la moitié de mon temps, l’autre moitié du temps trop occupé à faire la cour à la plus belle femme du clan. La fille du second de mon père. Une belle blonde aux yeux d’ange. Sarabi N’Goya me rendait dingue. Je n’avais d’yeux que pour elle, et la voir illuminait le reste de ma journée. Pour elle, j’aurais été capable du pire comme du meilleur. Comme aller braver une tempête de sable pour aller lui trouver la Datura du désert. Une magnifique fleur blanche qui m’a toujours fait pensé à ma Sarabi. On a refait le monde, elle et moi. Notre mariage était déjà dans nos têtes, le noms de nos enfants aussi. Tout aurait pu être parfait s’il n’y avait pas une légère ombre au tableau. Aveuglé par une jalousie, Askari - mon jeune frère - nous a souvent pourri la vie. Il veut le trône. Je le sais. On est en compétition, lui et moi. Sans doute, bien plus discipliné que moi, il aurait pu faire un bon roi. Ou pas… trop belliqueux pour ça, et ses fréquentations ne sont pas forcément les meilleures. Il n’a jamais réellement su s’entourer. Pourtant, je ne pouvais pas m’empêcher de l’aimer. C’est mon frère, et rien que pour ça, il avait sa place à mes côtés. Il ne l’a tout simplement pas compris.

Avec Sarabi, on s’est mariés le jour de nos dix-huit ans. Un mariage un peu trop pompeux pour nous, pas du tout celui que l’on avait imaginé. Nous, qui ne voulions que nos parents et notre fratrie, on se retrouvait entouré de tout le clan qui hurlait, chantait, dansait. Le mariage de l’héritier se doit être spectaculaire. Nous n’avons pas eu le choix que de subir. Sarabi était magnifique dans sa robe mauve et ses cheveux relevés. Si j’ignorais que je l’aimais, ce jour-là c’était une évidence. On a passé la nuit de noce dans une petite grotte dans le désert, loin des regards indiscrets. Si notre mariage n’avait pas été celui que l’on avait rêvé, personne ne nous imposerait le reste de notre vie. Ma mère a fini par lâcher l’affaire de vouloir m’inculquer les bonnes manières. Peut-être un peu trop révolutionnaires. Sarabi et moi, on voulait remettre en question les lois - que l’on jugeait bien trop vieilles -  qui nous guidaient depuis que notre peuple existait. Vivre avec son temps. On était même prêt à faire une alliance avec les humains. Même si on savait, au fond de nous, que cela ne serait sans doute pas possible, on l’avait envisagé elle et moi.

J’ai accédé au trône après la mort de notre père. Ce fut une tragédie. Pourtant, il les avait combattus des dizaines de fois, à toujours revenir vainqueur et un peu plus reconnu qu’avant. Notre peuple l'admirait pour sa capacité à les tenir éloignés de notre clan. Mais ce jour-là, était-il malade ? Déconcentré ? Etait-il tombé sur plus fort que lui ? Certainement. Et nous ne saurons jamais comment il est réellement tombé, mais le combat  a mal tourné. Les hyènes l’ont salement amochés. Bien sûr, il est revenu glorieux encore une fois, mais à quel prix. Il est mort deux jours plus tard, à la suite de ses blessures. Le chamane a pourtant tout fait, il l’a veillé nuit et jour, à lancer des incantations, à lui faire des potions, des onguents. Tout y est passé, même la prière mais rien y a fait. Ahadi est mort dans les bras de sa femme, Uru. Ma mère a été inconsolable durant trois mois. A pleurer tous les jours et à rester sur sa tombe sans bouger, sans cligner un seul instant des yeux. Je suis monté sur le trône, avec cette amertume qui grandissait en moi. Quand, enfin, ma mère est revenue au clan, après trois mois de deuil, ma décision était prise. Je vengerais la mort de mon père. Uru a bien tenté de m’en dissuader mais je ne laisserais pas passer. Les hyènes devaient comprendre que même si Ahadi n’était plus, il vivait encore en moi. J’y suis allé seul. J’ai combattu cette hyène de malheur du nom de Tutsi. Il a sûrement sous-estimé ma force, en revenant le soir, blessé au corps, une hyène avait disparu de Prideland. Même si cela ne ramènerait pas Ahadi à ma mère, cela m’avait soulagé. Vraiment. Le jour où je suis monté sur le trône, le peu de relation qui nous restait, Askari et moi, s’est définitivement cassé. Mais qui pouvais-je ? Né pour être héritier, telle était ma destinée. Pourtant, avec Askari, nous aurions pu faire de grandes choses. J’aurais voulu partager mon trône avec lui, qu’on règne ensemble mais sa jalousie et son agressivité envers nous, a eu raison de lui. Il ne règnerait pas à mes côtés. Je ne sais pas si nous avons eu une vraie relation mais dès l’instant où je suis monté sur le trône nous n’en avions plus du tout. Lorsque Simba est arrivé, ce fut pire. Tant que je n’avais pas d’héritier, il avait encore un espoir. Mais avec la naissance de Simba, son trône comme il l’appelait lui passait définitivement sous le nez. Simba, c’est ma merveille dans ce monde. Ma descendance, mon union avec ma Sarabi. Notre mélange, et il est parfaitement réussi. Un jour, il prendra ma place. Si je suis exigeant avec lui, Sarabi l’est nettement moins. Qu’il vive sa vie d’enfant ne cesse-t-elle pas de me répéter. Souviens-toi de comment tu étais à son âge. Oui. Simba était animé de la même fougue que moi, j’ai fini par abandonner l’idée de l’élever en parfait héritier. Oh, il en a fait des bêtises. A se rendre dans des endroits interdits, à se mettre dans les pires situations du monde, espérant que je vienne toujours l’en soustraire. J’ai battu les hyènes, encore, pour le sauver. Mon fidèle bras droit, Zazu Bakaoyo, veillait. Comme toujours. C’est lui qui m’a prévenu que mon fils, alors âgé de huit ans, était parti visiter le monde avec sa meilleure amie Nala Sissoko. Comme je le faisais avec Sarabi au même âge. Je leur ai sauvé les fesses, d’une mort certaine. Shanzi, cette saloperie est repartie la queue entre les jambes, avec ses deux compères Ed et Banzai. Je hais les hyènes. Parfois, je me demande si Askari ne combine pas avec elles, mais je n’en ai aucune preuve. Et puis gérer le Royaume de Prideland me prend bien trop de temps, et je n’ai que faire des histoires idiotes de mon cher frère.

Nous avons continué à vivre notre petite vie tranquille. Apprendre à mon fils. Repousser l’ennemi de Prideland. Surveiller le Royaume. Respecter le cycle de la vie. Notre chamane - et tendre ami - passait ses journées chez lui à tenter de lire le futur dans les étoiles. Rafiki est un peu fou, et on ne comprend pas toujours ce qu’il dit, mais j’ai une extrême confiance en lui. Il est immortel, il a tout vu. Il était là à la naissance de mes parents, à la naissance de mon frère et moi, et pour la cérémonie de baptême de Simba. Je sais qu’il sera là pour mon fils si je venais à disparaître. Ma vie se fracassa le jour le plus chaud de l’année. La rivière était presque à sec, on s’enfonçait de plus en plus loin pour aller chasser, comme tous les ans à cette époque. La chaleur mettait à plat tout le monde et j’étais en pleine sieste lorsque Askari est arrivé comme un fou dans ma tente. « Mufasa ! Simba ! Simba ! Les gnous ! Dans les gorges ! Vite ! » Autant dire que mon cœur n’a fait qu’un tour. Je me suis levé d’un seul bond et avant même que mon frère ne finisse sa phrase, j’étais déjà sorti, Sarabi hurlant un « Emmène des guerriers avec toi ! » à plein poumon, mais je ne l’écoutais déjà plus. Je suis parti seul, avec mon épée, dans les gorges. Zazu, le plus rapide guerrier, est parti devant pour tenter de retrouver Simba parmi la débandade des gnous au milieu de gorges. J’étais sûr que c’était une attaque des hyènes. Les gnous ne vont jamais dans les gorges que lorsqu’elles y sont obligées. J’aurais voulu que tout n’arrive jamais, que ce ne fus-ce qu’un pauvre rêve. Simba avait réussi à s’extirper des gorges, les gnous couraient comme des cinglés. Je suis arrivé par le haut des gorges juste à temps pour récupérer Simba et le mettre en sécurité. J’ai intimé à Zazu de le ramener à Prideland, et lorsque je les ai vus s’éloigner, une hyène m’est tombée dessus. Le combat a commencé. J’avais le dessus sur Banzaï, comme toujours, nous avons basculé dans le vide. Je me suis rattrapé à la paroi, j’ignore comment. En-dessous, j’entendais encore les bruits de galop des gnous, leurs cris de terreur. Un vacarme d’enfer hurlait lorsque j’ai réussi enfin à remonter sur le bord de la falaise. Il m’attendait. Debout, droit comme un I, ses yeux verts lui donnaient un regard de dingue. Son épée dans la main. Alors, j’ai su. J’ai compris qu’il était à l’origine de tout. Je dois l’admettre il s’était amélioré en combat. J’étais affaibli par ma chute dans le vide, fatigué par l’ascension que je venais de faire pour ne pas mourir écrasé par les gnous. J’ai du mal à me souvenir de combien de temps a duré le combat. La fatigue, la tension importante, tout s’embrouillait en moi. Mon frère. Même si je connaissais son ressenti face à ma nomination de roi, jamais je ne l’aurais cru capable d’aller aussi loin. Ou n’avais-je pas voulu le voir ? Trop de pensées me submergeaient. Pourquoi en était-il arrivé là ? Pourquoi avait-il cette haine en lui ? On aurait pu régner ensemble pourtant… La lame de son épée me transperça l’abdomen. J’ai senti mes yeux s’écarquiller, aucune douleur cependant, juste de la stupéfaction qu’il ait réussi son coup. Qu’allait devenir Simba, du haut de ses huit ans ? Et Sarabi ? Ma Sarabi me manquait déjà. Je ne pourrais jamais lui dire au revoir. Je suis tombé à genoux devant mon frère qui affichait un air victorieux. Oh, j’aurais voulu lui trancher la gorge à cet instant mais ma force s’amenuisait, je sentais le sang couler le long de mon ventre, je voulais simplement dormir. J’aurais voulu serrer encore mon fils dans mes bras, lui dire que j’étais fier de lui, de ce qu’il était et de ce qu’il allait devenir. Et en un seul coup de lame, Askari m’enlevait à lui. « Je te maudis Askari » fut les seuls mots que je réussis à lancer à mon frère avant de tomber au sol, inconscient.

Etait-ce ça la mort ? Un froid intense ? Et une lumière bien trop aveuglante pour réussir à ouvrir les yeux ? Mes doigts ont bougé, touchant quelque chose de froid. Le sable me grattait la tête. J’ai ouvert un œil, puis le second. Tout était silencieux. J’étais seul sur la falaise, allongé, baignant dans mon sang. J’avais terriblement froid. Un objet argenté se trouvait au bout de mes doigts. Dans un effort surhumain, j’ai réussi à l’attraper. Une clé. La douleur commençait à se réveiller, un frisson glacé me parcourut le corps. J’ai tourné la clé dans mes doigts, sans vraiment y faire attention, mes seules pensées tournées vers Sarabi et Simba. Je voulais les revoir. Encore. Comment pouvaient-ils venir me chercher ? Askari leur a sûrement annoncé que j’étais mort. Il m’a laissé pour mort. Mes forces avaient disparu, incapable de me remettre debout ou de bouger les jambes. J’allais sûrement mourir ici. Seul. Les bras en croix, la tête sur le côté, elle est apparue devant moi. Une porte argentée se tenait devant moi, seule, ondulant un peu, je la voyais flou. Était-ce réel ? Sûrement pas. Il n’y avait jamais eu de porte dans cet endroit de la Terre des Lions. Les portes, c’était un truc d’humains pour fermer leurs maisons. Que faisait-elle là ? J’ai rampé, la douleur me vrillait l’abdomen à chaque mouvement. Je vais mourir. Je le sais. Les quelques centimètres qui me séparaient d’elle m’ont vidé de toute la pauvre énergie qu’il me restait. J’ai poussé la porte. La pièce était circulaire. Et là, je l’ai vu. Où était-ce simplement mon  imagination qui me jouait des tours ? Étais-je revenu à la maison ? « Sarabi ? »

Je ne peux pas en repartir, je mourrais si je le faisais. Parfois, j’ai envie de repartir dans mon monde. Juste pour la revoir. Elle. Ma Sarabi. Et voir mon fils, ce qu’il est devenu. Un grand Roi sans nul doute. Et Askari ? Même si je le maudis de tout mon être, j’aimerais savoir ce qu’il est devenu. S’est-il fait prendre pour mon meurtre ? Ou coule-t-il des jours heureux auprès de ma femme et de mon fils, pleurant la perte de son frère bien-aimé comme il m’appelait ironiquement parlant. Aujourd’hui, cela fait trente-deux ans que je suis arrivé sur l'île. J’ai appris à vivre au milieu des humains. Je l'admet, je n’ai pas réellement confiance en eux mais je fais avec. Pendant longtemps, j’ai cherché ce que j’allais pouvoir faire sur cette île, loin de ma famille, seul, en proie à des cauchemars où je revis mon combat avec Taka. La cuisine me détendait et m'apaisait. J’ai commencé à faire des pâtisseries de toutes sortes. Au bout d’un an, j’ai fini par acheter une petite boutique près du port. J’avais remplacé mon désert par la mer., qui me rappelait mes envies de liberté. Je suis le boulanger de la ville. Au Roi Beignet.Peut-être qu’un jour, je trouverais le moyen de rentrer sans mourir. Et revoir ma Sarabi.  

Qui se cache Derrière l'écran
En réalité je m'appelle : Prongs et je suis vieux. J'ai découvert Untold Stories via par les pseudos en A et si j'avais un dernière chose à dire avant de commencer, ce serait : Elle est où la poulette
Mufasa N'Guvu
Dim 17 Jan - 22:24
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Regina Mills
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Pomme de Reine(tte)
Regina Mills
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Hé coucou toi ! Bienvenue officiellement sur le forum Mufasa, the lord  | Tu m'as oublié en oubliant qui tu étais, Simba....  3170149618 Mufasa, the lord  | Tu m'as oublié en oubliant qui tu étais, Simba....  846363869
J'espère que tu te plairas bien ici, et n'hésite pas si tu as des questions : tu sais où nous trouver Mufasa, the lord  | Tu m'as oublié en oubliant qui tu étais, Simba....  923169137

Bon courage pour ta fiche, et bon courage pour le frangin Mufasa, the lord  | Tu m'as oublié en oubliant qui tu étais, Simba....  3363320237
Regina Mills
Dim 17 Jan - 22:51
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Fiona Storn
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Fiona Storn
La Joconde Fiona-Lisa
Fiona Storn
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Coucou beau rouquin. On est fait pour s'entendre entre sans âme, donc n'hésite pas à venir me trouver. Twisted Evil
Fiona Storn
Dim 17 Jan - 23:08
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Mufasa N'Guvu
Mufasa N'Guvu
Mufasa N'Guvu
Hakuna Mufasa, quel Bretzel magnifique !
Mufasa N'Guvu
Messages : 47
Merci les pseudos en A Mufasa, the lord  | Tu m'as oublié en oubliant qui tu étais, Simba....  923169137

Comme dit si bien Renaud On choisit ses copains mais rarement sa famille
Y a un gonze mine de rien qu'a marié ma frangine

Ou Maxime : on choisit pas ses parents, on choisit pas sa famille, on choisit pas non plus les trottoirs de Manille, de Paris ou d'Alger pour apprendre à marcher. 
Bref, pas le choix que de faire avec le frangin... au pire, je le noierais Mufasa, the lord  | Tu m'as oublié en oubliant qui tu étais, Simba....  3363320237
Mufasa N'Guvu
Lun 18 Jan - 10:12
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Fiona Storn
Fiona Storn
Fiona Storn
La Joconde Fiona-Lisa
Fiona Storn
Messages : 665
C'est validé : Bienvenue parmi nous !

C'est officiel, tu fais partie de l'aventure !
Toutes nos félicitations pour ta validation. Maintenant, il ne te reste plus qu'à nous rejoindre pour de folles histoires. Cependant, il y a encore quelques petites tâches à accomplir avant de devenir un personnage de conte à part entière. Laisse-nous te guider..

Il s'agit d'aller faire valoir ta nouvelle identité nouvellement acquise et pour cela, il te faudra Recenser ton avatar ainsi que ton Personnage de conte car bien que cela puisse arriver parfois, c'est toujours désagréable de se retrouver un jour avec son double par accident. Tu peux également faire valoir ta position et nous renseigner ton activité professionnelle, surtout si celle-ci nécessite des ajustement de lieu, par exemple.
Nous te conseillons également d'ouvrir ta fiche de liens et ta fiche de Rps : crois-en notre expérience, il vaut mieux être bien entouré avant de se lancer dans ces terres hostiles ! N'hésite pas non plus à rejoindre Notre Discord privé, si ce n'est pas déjà fait, pour ainsi créer de véritables liens et participer à la bonne ambiance du forum.

Pour ce qui est du reste, tu peux flâner tranquille : on s'occupe du reste ! Tu viens donc de rejoindre avec succès le groupe des Engrenages et ton compte s'est vu crédité de 10 écrous d'or pour ne pas débarquer les poches vides. N'hésite pas à contacter un membre du staff à la moindre question ou requête ! A présent, il ne nous reste plus qu'à te souhaiter beaucoup de plaisir chez nous !

✤ La note de Fiona : Le roi est dans la place... un roi sans couronne et sans pouvoir ne l'oublie pas.  Mufasa, the lord  | Tu m'as oublié en oubliant qui tu étais, Simba....  3363320237 Ici, tu n'es rien qu'un habitant parmi tant d'autres.  Mufasa, the lord  | Tu m'as oublié en oubliant qui tu étais, Simba....  3363320237  Mufasa, the lord  | Tu m'as oublié en oubliant qui tu étais, Simba....  3363320237 Alors, ne l'oublie pas, lorsque tu croiseras ton petit frère adoré. Mufasa, the lord  | Tu m'as oublié en oubliant qui tu étais, Simba....  923169137 Une rencontre qui j'en suis sûr, provoquera quelques étincelles. Mufasa, the lord  | Tu m'as oublié en oubliant qui tu étais, Simba....  3575705631

Au plaisir de venir acheter un croissant dans ta boulangerie. Pas de masque, pas d'achat ! Mufasa, the lord  | Tu m'as oublié en oubliant qui tu étais, Simba....  1894085746

Un bon jeu à toi, des gratouilles sur ton petit bidon.

Fiona Storn
Lun 8 Fév - 19:44
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