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✤ Untoldtale ✤Chaque recoin de la cité vous sera décrit, dans une volonté que chacun puisse bien visualiser ce lieu qui constitue l'unique point de chute ou presque de tous les joueurs. Pas de panique néanmoins ! Vous n'êtes pas obligé d'avoir à lire l'intégralité des annexes avant l'élaboration de votre fiche. Vous pourrez découvrir Untoldtale petit à petit au sein de vos rps. N'hésitez pas à farfouiller les différents forums et sous-forums, à arpenter chaque rue et ruelle, et à découvrir de nouveaux recoins au gré de vos clics. Ce topic regroupe toutes les descriptions des lieux du forum, considérez-le comme un index alors n'hésitez pas à cliquer sur les différents titres.Cette cité grandiose, majestueuse a été bâtie sur les falaises septentrionales de l'Île Mystérieuse. L'architecture de la ville est un mélange d'éléments disparates propre aux cultures multiples de ses citoyens. C'est cette association tant de styles que de couleurs, qui lui confère une beauté et une élégance à couper le souffle. Au commencement, si la cité se limitait aux remparts de la Vieille-ville médiévale et à une vaste zone portuaire, elle s'est rapidement étendue avec l'afflux important de nouveaux arrivants. Ainsi, afin de faire face à la population croissante et aux besoins de celle-ci, est né le faubourg, quartier pauvre qui n'a jamais cessé de croitre au fil des années. A l'inverse, la luxueuse Ville-haute à l'esthétisme victorien-steampunk plus récente, se révèle être le fief exclusif de l'élite de la société. Au sein d'Untoldtale, la naissance ne confère ni privilège ni place particulière dans les différentes sphères de la société. C'est là, l'apanage qu'octroie la richesse personnelle et l'influence que l'on peut exercer.
Si à l'origine, le gouvernement de la cité était une oligarchie constitutionnelle et démocratique, composée des maîtres élus de chaque guilde, le pouvoir s'est vu être accaparé il y a un siècle de cela par trois des personnes les plus influentes de la société, lorsque la révolution industrielle y a largement installé sa vapeur et ses rouages. Les membres qui constituent ce triumvirat sont respectivement Sir Algonquin, dirigeant des aciéries Césium, Lord Ambrose, propriétaire des exploitations minières Calystène et Mademoiselle Geneviève, fondatrice de l'incontournable compagnie de transport aérien Griffard. A une époque où la science et ses avancées se basent sur la vapeur et autres mécanismes de toutes sortes, ils gouvernent et contrôlent ensemble la moindre parcelle de la ville, le charbon et son industrie d'une poigne ferme et assurée.
La devise de la cité est l'écrou. Il peut-être soit d’or, d’argent ou de cuivre mais l’unité de base est l'écrou de cuivre. Cette pièce la plus courante est un petit objet d’un pouce de diamètre. 1 écrou d’or vaut 100 écrous d’argent qui valent eux même 1000 écrous de cuivre.
Le marron, le gris ainsi que le blanc et le noir sont les couleurs principales de la mode vestimentaire, n’excluant pas les autres tenues pour autant. On privilégie les matériaux tels que le cuivre, le laiton mais également le bois et le cuir. La forme victorienne du genre englobent corsets et cols montants pour ces dames, tandis que les hommes privilégient plutôt les pantalons relativement serrés, vestes cintrées façon redingote et vêtements s’assimilant au costume militaire du XIXème siècle (ou bien des styles bien plus prolétaires, tel que celui des ouvriers de la révolution industrielle). En ce qui concerne les chapeaux, ils restaient discrets tant par leur taille que par leur aspect pour les femmes alors que ces messieurs affectionnent les hauts-de-forme dans la haute société et la gavroche pour les gens du commun. Les cannes et les ombrelles, les montres à gousset, les lunettes d’aviateurs ainsi que les engrenages de toutes tailles font d'excellents accessoires.Il s'agit du quartier le plus luxueux et qui renferme toutes les institutions politiques et juridiques de la cité. Les habitations y étant somptueuses, la présence de la garde y est donc omniprésente. Néanmoins faites-y preuve de prudence, ses larges rues n'en restent pas sûres pour autant.
Aux floraisons nocturnes : Ce dirigeable ancré à l'angle de deux rues passantes est un établissement de plaisirs réputé au sein de la cité. Composée d'une immense nacelle métallique de trois niveaux, la décoration y est élégante et n'est pas sans évoquer, les fameux lupanars parisiens de la Belle Époque. L'aérodrome Van Winkle : C'est une grande structure très aérée faite entièrement d'acier et de verre. Au pays des récits inachevés, les cieux ont été conquis au siècle dernier et le dirigeable est devenu l'un des moyens de transports le plus utilisé du quotidien. L'aéroflorale : Cette serre est un petit bijou d'architecture, édifiée toute en verre coloré et en fer puddlé. Elle est dotée d'engrenages mystérieux, connectés à des accumulateurs d'énergie et alimentés par les végétaux aux fragrances envoûtantes. Couplé à un gaz dont la composition exacte est jalousement gardée, le système permet de faire flotter la structure. Le parlement : Edifiée au bord d'une falaise, cette immense bâtisse toute en pierres blanches éclatantes surplombe la cité, rappelant ainsi la haute autorité du conseil qui domine ses citoyens. Entourée par des jardins entretenus avec le plus grand soin, elle jouît d'un panorama des plus appréciables tant sur l'océan, que sur le reste de la ville à ses pieds. Les hôtels particuliers : Riches maisons de maîtres, ces habitations de la ville-haute sont équipées de tout le confort moderne. Grandes, lumineuses, elles demandent un entretient constant et ce, par une armée de domestiques. Il s'agit du quartier de vie particulièrement prisé par la population de la cité. En son sein, le marché ainsi que les principaux lieux de commence et d'artisanat sont tous réunis aux abords de la Grande Place. Les artères principales de la cité le traversant, il s'agit donc également d'un lieu de passage très fréquenté.
L'aérostation Dr. Fergusson : C'est une structure moyenne faite de pierres et d'ardoises à la croisée des rues les plus passantes. Beaucoup trouvent plus pratique de circuler à travers les différents zones de la cité à l'aide de la ligne de dirigeables publics. La Camelotade : Animation frénétique, tumulte de la foule, la place du marché est l'un des lieux de vie principaux de la cité. De la plus simple des échoppes aux comptoirs dissimulés au plus profond des ruelles, la vie y suit son cours, paisiblement, quelque soit les affaires que chacun peut y faire. La Grande Place : C'est une vaste place pavée d'ardoises sur laquelle se dresse une fontaine musicale en cuivre, forgée et patinée par les intempéries. Cette reproduction de livres d'aspects divers et cerclée de bancs en cuivre ravira les plus mélomanes d'entre vous, grâce aux notes harmonieuses des mécanismes qu'elle active en coulant. Les appartements : Chaque immeuble composant le quartier de la vieille-ville a été divisé en de nombreux logements allant d'appartements complets aux simples chambres de bonnes situées sous les combles. Ils bénéficient souvent des conforts les plus courants. Le Sanctuaire : Cet ancien édifice souterrain est un vestige des Temps Oubliés fait de singulières roches bleutées. Le sanctuaire abrite en son sein, une quinzaine de lourdes portes, toutes d'allures différentes et obstruées par des herses en fer forgé. C'est là, l'unique lieu de transition de l'île permettant l'accès vers les autres mondes magiques. Il s'agit d'un quartier relativement miteux et malfamé. Aux origines, ce dernier n'était composé que de petites habitations en bois branlantes puis, il s'est développé avec le temps. C’est autant la zone d'implantation industrielle que des derniers réfugiés, des mal-aimés, et aussi des personnes les moins charitables.
L'aérostation Fogg : C'est une petite structure, construite en bois et bien mal entretenue, située au détour d'une des rues adjacentes de l'artère principale. Beaucoup trouvent qu'il est plus pratique de circuler à travers les différents zones de la cité à l'aide de la ligne de dirigeables publics. L'asylum Arkham : C'est un ensemble de vieux bâtiments, situé à l'orée de la forêt, à l'écart de la cité. Ils sont réputés pour avoir été le théâtre de moults pratiques cruelles et inhumaines durant le joug de Mr. Hyde. Depuis le départ de son directeur, ils sont à l'abandon mais, qui peut réellement être au fait des atrocités s'y dissimulant peut-être encore ? Les égouts : Cet immense réseau souterrain de galeries et de tuyauteries sert surtout de cachette aux personnes peu fréquentables. Quelques-uns des passages permettent de se déplacer entre les différents parties de la cité en toute discrétion. Depuis peu, les étals d'un marché noir y ont fait leur apparition. On y retrouve souvent nombre d'objets volés et interdits par le Triumvirat. L'orphelinat de Mme Priscilla : C'est un bâtiment aux murs de pierres recouverts de plantes, délabré et situé au fond d'une impasse. Si les extérieurs ne paient pas vraiment de mine, l'intérieur quant à lui est plutôt chaleureux. Le bâtiment accueille entre autre : un réfectoire, une petite bibliothèque, une salle commune, ainsi qu'un grenier transformé en dortoir. Les masures : Ces habitations sombres au loyer plutôt peu coûteux sont pour beaucoup très proche de véritables taudis. Les personnes qui occupent les lieux, baignent constamment dans le vacarme engendré tant par la machinerie d'ateliers que d'usines. Les navires vont et viennent, que ce soit ceux des marchands ou ceux des pêcheurs. Les ragots vont bon train autour des quais, mais sur les navires le silence règne en maître. L'animation y est toujours intense, quelque soit l'heure de la journée.
Au dauphin noyé : C'est un tripot miteux et crasseux situé dans la zone la plus reculée et malfamée des docks. L'alcool y est frelaté, les coupe-jarrets légions ainsi que les couteaux perdus et leurs victimes. Ce lieu est la plaque tournante du marché noir et des recels en tout genre. L'aérostation Ellen Hodges : C'est un bâtiment moyen, édifié en briques et en acier à présent rouillé par les intempéries. Il est situé à la lisière des docks. L'Astrolabe : Actuellement, il s'agit du repaire de la secte du "Cercle de l'Aiguille Ecarlate". Cette ancienne usine de briques désaffectée depuis une soixantaine d'années environ, a été investie par ce culte afin de servir de base. Elle est située à l'écart des docks, afin de garantir un certain anonymat. Les docks : Un amoncellement d'entrepôts en briques, de marchandises, de caisses en bois, de tissus, de sacs en toile, et autres bocaux en tout genre. C'est un joyeux foutoir, animé dès l'aurore jusque bien tard après le crépuscule. |
