Elle se fait appeler simplement Louise, elle omet souvent de préciser son nom de famille car elle en a honte et que c'est une partie de sa vie qu'elle souhaite oublier.
Physique & Caractère
Louise est une jeune femme à la peau cuivrée et aux cheveux ébènes. Sa longue chevelure jais fait tout son charme. Ses yeux sont bruns et son visage de poupée est amochée par une cicatrice sur le sourcil gauche dû à une chute. Son corps est agile et prompt au combat. Néanmoins, l'ancienne épouse de Barbe bleue est loin d'être aussi charmante que son physique laisse prétendre.
Si on devait décrire son caractère en un unique mot, il serait surement : mauvais. Si Louise a été à une époque, une jeune femme joviale, naïve et rêveuse, aujourd'hui elle est plutôt définie comme pessimiste, avec des tendances à se mettre en rogne pour rien et est excessivement sévère. Louise est traumatisée par son précédent mariage avec le monstre de Barbe bleue et n'est donc pas du tout ouverte aux relations avec une affinité amoureuse... Elle est plus apte à se faire des ennemis que des amis. Elle ne supporte pas le contact et risque de devenir exécrable si quelqu'un ne ferait que la frôler d'un peu trop près. De plus, elle a un penchant pour la violence et les combats de rue qui partent d'un simple coup d'épaule maladroit.
Histoire
Je suis née dans une province de la campagne, au milieu de champs fleuris et des animaux de ferme. J'avais déjà deux frères plus âgés lorsque j'ai vu le jour dans cette humble maison. Nous élevions vaches, vendions le blé et vivions simplement. Les affaires étaient fructueuses et nous n'avons jamais manqué de rien.
Tout a commencé le jour de mes six ans, ce fut la première fois que j'entendais le nom singulier de Barbe bleue de la bouche d'une de mes voisines. Plus connu dans notre région comme l'homme aux défuntes épouses. Avec ma fratrie, nous nous amusions à inventer un tas d'histoires sur cet homme et sur comment ses femmes avaient péri dans des circonstances énigmatiques. Je n'habitais qu'à quelques pas de sa demeure, un édifice qui s'élevait jusqu'en haut des nuages. Elle était grande et aurait donné à n'importe quelle personne l'envie de s'y aventurer et d'y découvrir les mystères...
C'est lors d'un matin de décembre, alors que j'abreuvais nos chevaux, que j'aperçus pour la toute première fois son visage, son nez crochu, sa peau grasse cachée par son imposante barbe azur. Il était là, à me regarder fixement comme un objet de convoitise. Malgré toutes ses imperfections, je me sentais attiré par le désir de le découvrir, connaitre son caractère et profiter de ses richesses dont j'entendais qu'elles dépassaient toutes les espérances d'une femme encore célibataire. Mes voisines m'avaient pourtant mis en garde, l'une d'entre elles, repoussée par l'aspect de l'homme avait refusé sa demande mais moi, j'étais naïve et j'avais le pressentiment que j'arriverai à combler la vie de Barbe Bleue. Je n'avais pas de dot, pas d'argent, pas de parents, pas de luxueuse fortune. Mais cela ne semblait pas l'importuner, dans mon esprit tout est parfaitement cohérent : il m'aimait. Il avait fait une cour digne de ce nom et j'avais été séduite par ses douces paroles. Il avait commencé par m'apporter des iris bleus tous les matins, son sourire charmeur m'avait conquise et j'attendais patiemment à l'aube de le voir apparaitre derrière la colline.
J'étais pourtant une bien simple roturière, mes frères - Edmond et Maurice - étaient garants de mon éducation depuis la mort de nos parents. Ils étaient protecteurs, braves et je savais qu'ils aspiraient à plus qu'à être de simples garçons de ferme. Notre cadette, Anne, était pensive et avait à peine eu la chance de connaitre mère et père, je voyais souvent leurs deux tempéraments en elle ; son dévouement pour la culture, sa rêverie et son franc-parler. Mes parents avaient péri lors d'un accident de calèche sur la route qui les menait en ville, avec des précieux trésors que jamais nous n'avons revu ; surement dérobés par des brigands qui passaient là. Nous n'avons jamais eu le fin mot de leur funeste fin mais nous nous plaisons à croire qu'ils sont partis rejoindre un monde meilleur.
Moi et Barbe bleue nous mariâmes alors que j'avais déjà 20 années. Je me rappelle des regards désapprobateurs de mes frères et des remarques désobligeantes d'Anne sur le physique de mon époux. Moi, je ne voyais que le bonheur au bout de cet autel et je pensais déjà à tout cet or dont j'allais pouvoir faire usage pour aider ma famille.
Mais Barbe bleue était un homme froid et distant, très différent de l'homme qui m'avait séduite si promptement - notre nuit de noce avait été plus décevante que tout - je pensais qu'il agissait comme cela à cause de la peur de ses sentiments envers moi et la crainte que je ne périsse comme ses anciennes femmes. Je lui portais toujours beaucoup d'attention, au point d'être excessivement cramponné à sa barbe à chaque minutes de la journée. Il me sermonnait sans cesse et je n'arrivais pas à lui retirer son masque une bonne fois pour toute. Nous passâmes des premières années de mariage éloignés l'un de l'autre, les activités conjugales étaient inexistantes et nous ne sortions que très peu de notre foyer. J'avais parfois la chance de profiter des visites de mes ainés et d'Anne mais le principal hôte avait élu domicile dans son bureau. Je prétendais vivre un parfait bonheur mais au fond de moi, je savais que je m'étais voilé la face ; il n'était en rien mon rêve de félicité.
Je fus désappointée lorsqu'il dû s'absenter pour des affaires - qui ne me concernaient en rien, je n'étais que sa femme à tout faire après tout - personnelles. Mais tandis que sa calèche l'attendait sagement à l'extérieur du domaine, il me confia un trousseau de clés pour déverrouiller chaque porte du château durant son voyage. Mon visage s'était illuminé, la confiance dont il faisait preuve était surement le signe que nous commencions doucement à construire quelque chose. Néanmoins...avant de fermer la porte de son somptueux carrosse, il se retourna et d'une voix rauque il prononça ses mots :
-"Vous avez interdiction de vous approcher du cabinet verrouillé au fond du couloir, au troisième étage. S'il vous arrive de l'ouvrir, il n'y a rien que vous deviez attendre de ma colère."
Mon cœur s'était presque arrêté tant sa voix m'avait glacé le sang. J'acquiesçai penaude sa directive avant de le regarder partir pour des raisons inconnues. Durant les jours qui suivirent, je gardai avec moi son précieux trousseau de clés, désormais signe que nous vivrions un amour comme il n'en avait jamais ressenti. Peut-être était-ce une manière pour moi de prouver aux autres que je n'étais pas qu'une jeune femme dénuée de raison qui avait épousé l'homme le plus terrifiant de la province. La conviction que les choses s'arrangeraient me gagnait.
Mais je me donnai rapidement tort ; cela faisait à peine quelques jours que mon mari s'était absenté. Je passai dans le couloirs du troisième étage dont les murs étaient couverts d'une moquette bleue et où les portes étaient ornées de dorures fastueuses. Je m'arrêtai devant la pièce qui menait à la petite bibliothèque du château. Je regardai la porte du cabinet, cachée par une plante morte dont les feuilles s'effritaient. Si j'entrais dans cette pièce, je pourrais prouver à mon époux qu'il était inutile d'avoir des secrets l'un pour l'autre . Cela aiderait peut-être notre jeune couple ? Mieux encore ! Peut-être y cachait-il une surprise ?
Ma curiosité prit les devants et m'emmena devant ladite porte. Je cherchai la clé adéquate et je reconnus presque aussitôt le paneton si particulier de la serrure. Je l'insérai dedans et tourna trois fois avant d'entendre le "clic" qui m'indiquai que je ne m'étais pas trompé. Le sourire aux lèvres, j'abaissai la poignée puis ouvrit discrètement la porte telle une petite souris. Mais je fus dérangée par une odeur nauséabonde et je retenais la nausée qui commençait à remonter dans ma gorge. Je porta ma main à mon nez pour en couper le souffle.
Je me figeai sur place en découvrant l'immonde vérité : un tas de cadavres accrochés au mur comme des ingrédients qu'on exposerait sur une étagère. Des cadavres de...femmes qui dégoulinaient d'un liquide rouge, se rependant jusqu'à mes souliers en soie. Choquée devant ce véritable massacre, je laissai tombé le trousseau dans cette marre de sang. Je ne pus contenir l'émotion et je crachais, toussais tant ce spectacle m'écœurait. Je repris le trousseau de clés et ferma la pièce en laissant couler les larmes chaudes sur mon visage livide de ma précédente nausée.
Que j'avais été sotte de vouloir donner tort aux rumeurs. Cet homme était un véritable monstre, aucun être humain n'était capable de pareille immondice. Il avait tué toutes ces pauvres femmes innocentes et avait laissé leur corps se décomposer sur le lieu du crime. En pleurant sur ma situation, je regardai de plus près la clé tachée de sang, je frissonnai à l'idée qu'il ne découvre que j'avais enfreint la règle. Je partis remplir un bol d'eau chaude pour effacer les preuves de ma désobéissance mais j'avais beau frotter - au risque de me blesser les mains - la tache rougeâtre ne disparaissait pas. J'étais anéantie et toujours horrifiée par les images de ce bain de sang. Je savais que je serais la prochaine, qu'il s'en rendrait compte tôt ou tard. Je n'étais plus en sécurité, je devais fuir, à n'importe quel prix et m'échapper de cette prison dorée.
Mais la malchance s'abattit une nouvelle fois sur moi lorsque j'entendis la porte de note rez-de-chaussée grincer et mon mari me quémander aussitôt. J'ignore pourquoi je m'étais prise à espérer qu'il ne vérifie pas le trousseau, qu'il se contente de me dire à quel point je lui avais manqué et que ses yeux dérivent de l'objet à la tache coriace. Il regarda la pièce à conviction et ses sourcils se froncèrent, je prétendis ne pas connaître la raison de sa colère en gardant malgré moi un sourire caricatural. Mais je me rendis rapidement à l'évidence, la seule manière de gagner un peu de temps était de le supplier alors je tentai le tout pour le tout. À genoux, en pleurs devant ses yeux remplient de rage tandis qu'il attrapait mes cheveux jais en guise de punition. Je le suppliai encore et encore, demandant sa clémence pour me laisser ne serait-ce qu'un quart d'heure... Pour me préparer noblement à ma fin.
Il m'enferma dans mes appartements, et je regardai l'horloge qui faisait défiler les minutes. Ses minutes me paraissant des secondes. Je m'approchai de la fenêtre et m'assis sur le bord de cette dernière, admirant une dernière fois le paysage de la campagne : l'herbe verdoyante, le soleil étincelant, les fleurs colorées qui dansaient au gré du vent ; c'était une belle journée pour mourir.
Je m'apprêtais à fermer les yeux lorsque j'entendis la douce voix d'Anne, ma sœur. Elle m'appelait et me faisait de grands signes de la main, je me rappelai soudain que mes frères devaient me visiter aujourd'hui ; peut-être que tout espoir n'était pas perdu...? Je saisis ma chance et même si j'en mourrais d'envie, je ne pris pas le risque de crier au risque que mon époux ne m'entende. Alors, avec de grands gestes expressifs, j'essayais de lui faire comprendre que j'avais besoin d'aide. Miracle ou non, elle se posta en haut d'une tour en pierre blanche, attendant - tout comme moi- l'arrivée héroïque d'Edmond et Maurice. Je regardai mon espoir s'envoler au fur et à mesure que la grande aiguille avançait ; aucun signe d'eux.
La chaise qui servait de bloque-porte tomba sous la force de Barbe bleue - j'avais tout essayé...- et je vis sur son visage un sourire sournois et machiavélique. Son corps corpulent me dominait et moi, je ne trouvai pas l'élan pour me défendre. Il serra ses mains autour de mon cou frêle, ma respiration se coupa et je fermai les yeux, revoyant ma vie défiler devant moi. Toutes ces erreurs, ces espérances, ces mensonges...
Et ce fut au moment, où mes chances de m'en sortir semblaient vaines que j'entendis un claquement de porte assourdissant. Une lame aiguisée transperça le corps de mon époux - Edmond lui avait apporté un coup fatal - et des jets de sang me frappèrent le visage. Voir le corps de cette bête sur le sol me fit grincer des dents, une colère noire s'empara de moi tandis que mes sauveurs me serrèrent dans leurs bras vaillants. Je réussi à m'en sortir avec une simple cicatrice au sourcil gauche.
J'héritai de son immense fortune mais je n'osai pas dépenser cet argent que j'estimais sali par les mains d'un meurtrier. Mon histoire aurait pu se finir ici mais au fond, je restais une veuve en quête d'un nouveau départ... J'avais emménagé dans mon ancienne petite ferme provinciale et j'avais repris mes activités que jamais je n'aurais dû arrêter pour me marier sur un coup de tête. Je cauchemardais encore sur cet après-midi sauf que dans cette version, je périssais, obligée de regarder les yeux de mon ancien époux emplis d'aversion. Quelques fois, Anne venait m'apporter son aide dans les tâches quotidiennes de la ferme mais il me semblait impossible de me construire une nouvelle vie en ayant à quelques kilomètres de chez moi le château du malheur... Edmond avait continuer à suivre une carrière militaire et Maurice s'était trouvé une nouvelle voie dans la science et la mécanique.
C'est alors qu'un matin, après mettre lever aux aurores, que j'aperçus une clé déposée sur mon guéridon ; quelle ironie de la part du destin... Je la saisis alors prête à m'en débarrasser mais alors que je pris l'élan nécessaire pour la jeter par la fenêtre, un bruit sourd me sortit de ma torpeur. Je vis une porte apparaitre soudainement, j'ignorais ce qu'il se trouvait à l'intérieur mais les vagues colorées m'attiraient et j'y passai un premier bras, puis un deuxième, jusqu'à ce que tout mon corps traverse cette énigme insolvable. Peu importait la destination finale, c'était ma porte de sortie, l'occasion de commencer un nouveau chapitre de ma vie.
C'est au pays des récits inachevés que mon histoire continue - ou est en suspens...-, si j'ai été une citoyenne de la cité pendant un moment, j'ai rapidement rêvé d'aventure et de liberté. J'ai rejoint le refuge de Barbe-brume - le destin n'a pas fini de me jouer des tours il semblerait...-, j'ai réussi à m'y faire une place et à devenir une jeune recrue de l'équipage de l'Octavius. Cela ne fut pas une mission des plus aisées mais Edmond m'avait enseigné quelques bases dans l'art du combat et j'avais réussi à perfectionner cette compétence durant mes premiers mois à Untoldtale. Bien que mon rôle au sein de l'équipage se limite uniquement à la cuisine et à effectuer des tâches ingrates, j'ai le sentiment que je réussirai inévitablement à montrer ce que je vaux. J'ignore si cela est le bon chemin à suivre mais je n'ai plus rien à perdre.
Qui se cache Derrière l'écran
En réalité je m'appelle : Gug et j'ai plusieurs années. J'ai découvert Untold Stories via le hasard et si j'avais un dernière chose à dire avant de commencer, ce serait :
Bienvenue parmi nous. , je constate que nous avons déjà pas mal de lecture, je vais aller découvrir tout cela. ^^
Fiona Storn
Dim 30 Jan - 17:01
Fiona Storn
Fiona Storn
La Joconde Fiona-Lisa
Fiona Storn
Messages : 665
Je double posts ... cette histoire ... j'étais à fond dans la lecture de A à Z. J'ai presque envie d'en réclamer encore plus. ^^
Fiona Storn
Dim 30 Jan - 17:17
Invité
Invité
Invité
Je suis encore en pleine relecture, il manque toujours des petites choses. Je vais essayer de creuser un peu plus son histoire (surtout le passée, les frères et sœurs... ça pourrait être intéressant)
Invité
Dim 30 Jan - 17:21
Fiona Storn
Fiona Storn
La Joconde Fiona-Lisa
Fiona Storn
Messages : 665
Nous ne dirons pas non aux détails n'hésite pas à associer tes frères et sœurs à d'autres personnages de contes, ça pourrait te donner quelques pistes afin de les étoffer (nous, on aime les associations surprenantes sur US. )
Fiona Storn
Dim 30 Jan - 17:27
Lyra McCaffrey
Lyra McCaffrey
Cœur recollé à l'Hadèsif
Lyra McCaffrey
Messages : 404
Bienvenue !
Je valide ton choix de FC ! (J'avoue que je ne connais pas du tout la demoiselle mais elle est très charismatique) Ainsi que le conte, ce n'est sans doute pas le plus joyeux de tous ceux que l'on connait mais je l'ai toujours beaucoup aimé. J'attends donc tes ajouts avec impatience. Je pense qu'on pourra partir sur un petit lien avec mon DC, Anikeï aka le Chat Botté.
Lyra McCaffrey
Dim 30 Jan - 18:37
Invité
Invité
Invité
Merci pour l'accueil ! Depuis le temps que je voulais avoir cette FC sur un forum, c'était l'occasion idéale ! Avec plaisir pour ce futur lien !
Invité
Dim 30 Jan - 20:33
Arsène Lupin
Arsène Lupin
Il Faust se Méphier de lui...
Arsène Lupin
Messages : 443
Bienvenuuuue parmi nouus ! C'est rare de voir ce conte adapté, excellent choix ! J'aime beaucoup ton histoire, j'ai hâte de pouvoir lire tes petits ajouts Et au plaisir de se croiser en rp j'espère, j'ai un pirate grincheux chez les Forbans
Arsène Lupin
Dim 30 Jan - 20:37
Regina Mills
Regina Mills
Pomme de Reine(tte)
Regina Mills
Messages : 442
Bienvenueeeeee J'espère que tu te plairas bien parmi nous et sur le forum !
J'ai adoré lire ta fiche, c'est un super personnage que tu nous a préparé là : on se croisera très certainement au refuge !! A bientôt !
Regina Mills
Dim 30 Jan - 22:57
Fiona Storn
Fiona Storn
La Joconde Fiona-Lisa
Fiona Storn
Messages : 665
C'est validé : Bienvenue parmi nous !
C'est officiel, tu fais partie de l'aventure ! Toutes nos félicitations pour ta validation. Maintenant, il ne te reste plus qu'à nous rejoindre pour de folles histoires. Cependant, il y a encore quelques petites tâches à accomplir avant de devenir un personnage de conte à part entière. Laisse-nous te guider..
Il s'agit d'aller faire valoir ta nouvelle identité nouvellement acquise et pour cela, il te faudra Recenser ton avatar ainsi que ton Personnage de conte car bien que cela puisse arriver parfois, c'est toujours désagréable de se retrouver un jour avec son double par accident. Tu peux également faire valoir ta position et nous renseigner ton activité professionnelle, surtout si celle-ci nécessite des ajustement de lieu, par exemple. Nous te conseillons également d'ouvrir ta fiche de liens et ta fiche de Rps : crois-en notre expérience, il vaut mieux être bien entouré avant de se lancer dans ces terres hostiles ! N'hésite pas non plus à rejoindre Notre Discord privé, si ce n'est pas déjà fait, pour ainsi créer de véritables liens et participer à la bonne ambiance du forum.
Pour ce qui est du reste, tu peux flâner tranquille : on s'occupe du reste ! Tu viens donc de rejoindre avec succès le groupe des Sextants et ton compte s'est vu crédité de 10 écrous d'or pour ne pas débarquer les poches vides. N'hésite pas à contacter un membre du staff à la moindre question ou requête ! A présent, il ne nous reste plus qu'à te souhaiter beaucoup de plaisir chez nous !
✤ La note de Fiona : Cette fiche fut un plaisir à la lecture et je te valide avec un grand OUI. Je te laisse prendre contact avec notre cher ARMAND D'HAUTEVILLE, ton capitaine à peine revenu après deux années d'absence. Tu es conviée avec grand plaisir au bal se déroulant sur la grande place de la cité par Ici si tu souhaites t'amuser ou y jouer les retrouvailles avec Armand. . Si tu désires participer à l'intrigue à venir, tu trouveras les inscriptions par là ! Au plaisir de se croiser en jeu.
, je constate que nous avons déjà pas mal de lecture, je vais aller découvrir tout cela. ^^
n'hésite pas à associer tes frères et sœurs à d'autres personnages de contes, ça pourrait te donner quelques pistes afin de les étoffer (nous, on aime les associations surprenantes sur US. 
)
Ainsi que le conte, ce n'est sans doute pas le plus joyeux de tous ceux que l'on connait mais je l'ai toujours beaucoup aimé. J'attends donc tes ajouts avec impatience. 
C'est rare de voir ce conte adapté, excellent choix !
Et au plaisir de se croiser en rp j'espère, j'ai un pirate grincheux chez les Forbans 
: on se croisera très certainement au refuge !! 